L’été dernier, pendant ce qu’on appelle aujourd’hui le “NFT Summer”, une espèce de paranthèse enchantée pour le marché des NFT, tous les regards étaient tournés vers l’art génératif et principalement sur la plateforme ArtBlocks.

En effet, on ne peut parler d’art génératif sans parler d’ArtBlocks qui a lancé en quelques mois les grands noms de ce courant, désormais indissociablement lié au Crypto-Art.
Dmitri Cherniak avec la collection “Ringers”, Tyler Hobbs avec “Findenza” ou encore Snowfro et la collection emblématique d’Artblocks les “Chromie Squiggle”, tous sont aujourd’hui mise en vente dans les plus grandes ventes aux enchères comme ça a été le cas il y a quelques jours avec la vente Natively Digital 1.3 de chez Sotheby’s…

Et pourtant… et pourtant l’euphorie a été de courte durée, puisque depuis quelques mois nous voyons le cours de ces collections baissées peu à peu, mais jusqu’où?
Nous nous sommes même demandés, nous qui sommes passionnés par cette forme d’art si finalement “l’art génératif n’était t-il pas déjà mort?”..

Pour répondre à cette question nous avons fait appel au collectionneur Scapeshift que vous connaissez déjà (room #253 sur Step’n), spécialiste d’Artblocks et de l’art génératif…

Pour aller plus loin:

site web officiel d’ArtBlocks

Les collections Art Blocks Curated sur Opensea

Site de la vente Natively Digital 1.3 de Sotheby’s

Compte Twitter de Scapeshift

Site d’art génératif fxhash sur Tezos

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