Se rendre compte que l'on perd ses cheveux, à 22 ans, quand la vie tourne autour des amours, des amis, des études, de la famille... Coup dur. Une angoisse qui grandit à mesure que les cheveux tombent. Un phénomène commun: la calvitie touche un homme sur quatre (25%) et la chute de cheveux préoccupe plus un tiers de ceux qui en souffrent (37%) (Ifop pour Oxygen et Norgil, 2015

Préoccupation puis angoisse

Atteint d'«alopécie androgénétique», qui touche plus souvent les hommes que les femmes, le jeune auteur de romans Julien Dufresne-Lamy a vécu douloureusement la perte de ses cheveux. Pendant dix ans, il a ressenti de la honte, usé de médicaments et de subterfuges pour cacher sa calvitie. Avant de partir à Istanbul, en Turquie, pour une opération de transplantation de cheveux. Dans la capitale du tourisme capillaire, il a croisé stars de foot et anonymes du monde entier.

Julien Dufresne-Lamy a publié une autofiction sur ses heurs et malheurs avec ses cheveux, Antichute, publiée chez Flammarion (19 euros). Un livre mêlant humour et tristesse sur sa jeunesse et son tourisme capillaire. Mais aussi une réflexion sur la symbolique du cheveu, et l'impact de l'alopécie sur la vie sociale et affective. 

Quelle symbolique du cheveu ?

Dans notre podcast « Minute Papillon ! », avec notre rendez-vous du jeudi « La Bulle », Julien Dufresne-Lamy revient sur son livre, sur la décision d'effectuer une opération capillaire, et sur cette symbolique du cheveu. Pour l'écouter, c'est simple comme un clic dans le lecteur audio ci-dessus.

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Un épisode d'Anne-Laetitia Béraud

Crédit son: Bisquit Soul de Nordgroove Fugue Icons8.com

Illustration: Canva / 20 Minutes


 

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