HYPE PODCAST NBA : PAS TROP CUIT FINALEMENT LE CURRY !

PAS TROP CUIT FINALEMENT LE CURRY ! 

Les Warriors de Stephen Curry n’étaient pas parmi les équipes présentes dans la bulle organisée par la NBA, en Floride. Leader sur les parquets et en dehors, le meneur des Warriors ne rate jamais une occasion de faire entendre sa voix. A l’image du T-shirt Black Live Matter porté à l’échauffement du match contre les Clippers de Los Angeles, au soir des événements survenus au capitole de Washington et depuis le mouvement initié par Colin Kaepernick, les athlètes du monde entier, n’hésitent plus à s’engager personnellement et à user de leurs droits… de réponses.

« Je l’ai pris personnellement »

Considéré comme l’homme qui a révolutionné le jeu en NBA, triple champion avec les Warriors de Golden State, deux fois MVP de la saison régulière, dont un titre acquis à l'unanimité, une première dans l’histoire de la NBA. Stephen Curry continue d’être l’objet de critiques. En juillet dernier, notre confrère et journaliste, Bomani Jones, se refusait même à classer « Baby Face » parmi les plus grandes superstars de la ligue, arguant qu’il était plutôt un « joueur de système ». Toujours selon notre confrère, à l’image d’un Tony Parker, le rendement de Curry serait « moindre loin des Warriors »

La réponse réponse des cadres

Pour le très vocal intérieur des Warriors, Draymond Green, fraîchement revenu aux affaires, Curry est l’élément principal des réussites passées. Témoin privilégié des exploits du meneur, depuis 2012, pour lui Stephen Curry porte l’équipe comme il l’a toujours fait : 

« Tout le monde cherche toujours une raison pour s’en prendre à Steph. Il n’a jamais été élu MVP des finales.’ Où 'il ne porte pas une équipe.’ Si je ne me trompe pas, il nous a porté plutôt loin en 2015. Et pour être honnête, il a porté toutes nos équipes. »

Un Curry épicé

Habitué à soulever des montagnes depuis son passage à l’université de Davidson, Curry a sorti une performance dantesque cette semaine contre les Portland Trailblazers en  réponse à ses détracteurs. Auteur de 62 points (record en carrière) et victoire à la clé, le meneur a récidivé avec 31 points contre les Kings de Sacramento. Ces performances, faisant de lui un logique joueur de la semaine. 

Redevenu Curry dépendant, les Warriors pourront-ils compter sur un Stephen Curry de Gala, à chaque sortie ? Souvent doublé en attaque et ciblé en défense, pourra t-il ,à 32 ans, porter les Warriors en playoffs et plus encore ? Une chose est sûre, toute la Bay area connaît déjà le chemin.

Bonne écoute

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