D’aucuns diront que lorsqu’on habite en ville, on mange mal. Et pour cause, il est souvent difficile d'accéder à des produits de bonne qualité à prix abordables.

Le confinement et le ralentissement des échanges économiques ont remis en cause ce postulat : les citadins ont eu tendance à se tourner vers les produits locaux ou les circuits courts. Mais, que peut offrir la ville en matière d’alimentation ? Condamne-t-elle ses habitants à la « malbouffe » ?

En partenariat avec le site The Conversation.

Avec :

- Jennifer Gallé, journaliste pour le site d’Information The Conversation

- Christine Aubry, responsable du collectif de recherche « Agricultures urbaines » à l'INRAE, l’Institut National de Recherche pour l’Agriculture, l’Alimentation et l’Environnement d'AgroParisTech – Université Paris-Saclay

- Audrey Soula, chargée de recherches en anthropologie au CIRAD

- Estelle Kouokam, anthropologue à l’Université catholique d’Afrique centrale à Yaoundé.

Quelques articles de The Conversation pour aller plus loin :

Toits potagers en ville

Non, tout ce qui pousse en ville n'est pas pollué

L'ascension de l'agriculture urbaine

Des infos sur le colloque Manger en Ville organisé par le CIRAD

Le livre « Manger en ville » à télécharger.